Sur leur blog, les 3 fondateurs de Neoenso, tous spécialistes du mieux-être au travail, dédient une série d’articles aux origines des pratiques consacrées à la Qualité de vie au Travail.
Le 23 avril dernier, il me sollicite pour rédiger la conclusion de leur dernier article sur les origines du coaching. Je décide alors de m’exprimer sur le sens de ma mission en tant que coach certifié et formée par Alain Cayrol, directeur de l’Institut de Coaching international :
« Le coaching étant par essence multiforme, il est difficile d’en donner une définition « simple ». – Je dirai en résumé, c’est un professionnel de la clarification et des processus d’accompagnement, un exportateur d’énergie.
Il construit l’avenir en s’appuyant sur le présent, tout en indiquant que l’avenir fait aussi ce présent, car la manière dont nous imaginons individuellement notre avenir induit nos comportements dans l’instant.
La pratique du coaching est entièrement centrée sur le client, non sur le coach. Le coach dispose des compétences lui permettant de poser un cadre précis. Clarifier où en est la personne en gérant la relation avec le client en toute transparence, définir précisément son cadre d’intervention (la situation à l’instant T, l’objectif défini et le cheminement pour parcourir le chemin de l’un à l’autre). Aider à clarifier ce que souhaite le coaché -poser les bonnes questions au bon moment. Préserver, par sa présence bienveillante mais discrète, l’espace de décision nécessaire afin que la personne accompagnée reste seul pilote de son projet.
En résumé, le coach est un partenaire en réussite. Il sera donc un catalyseur et un accélérateur de changement, un éclaireur ! Ses actions sont en conséquence ciblées et mêmes si elles s’inscrivent dans un temps moyen, elles restent éphémères : 6 à 8 mois, car il s’agit bien d’accroître le niveau d’autonomie du coaché pour qu’il puisse ensuite déterminer seul ses propres buts. »